Bien-être

Adrien Ruet : Pleurer pour se libérer !

Par Adrien Ruet , le mardi, 11 avril 2017, 7h16
Pleurer pour se libérer
Pleurer pour se libérer

Image crédit : source

Pleurer pour se libérer !

Tu sais, si tu as une « maladie », ou tout du moins si il t’arrive un pépin de santé, une dysfonction d’un système ou d’une aptitude, tu auras beau améliorer les choses, vraiment les améliorer, en travaillant sur le corps physique, par toutes les techniques qui te sembleront nécessaires et je pense ici notamment à tout ce que propose la naturopathie (et toutes les méthodes holistiques), il n’en restera pas moins que le plus gros du travail et cela même si ton mal être physique te fait atrocement souffrir et que les soins que tu y apporteras glaneront leurs fruits, il te faudra à un moment ou un autre purifier ton corps émotionnel.

Celui là même qui créera son sillage de maladies ou de biens êtres jusqu’au corps physique, celui dans lequel nous vivons et par lequel nous nous exprimons, ce canal grâce auquel la « maladie », enfin le mal a dit, pourra pénétrer jusqu’au corps physique où il (le mal) pourra s’épanouir par notre souffrance, notre douleur.


Tout, absolument tout est en interpénétration constante. Je décide d’expliquer comme cela, mais je pourrai expliquer autrement. Cette manière me va.

J’imagine qu’il faut parfois avoir pratiqué sur soi, peut être pendant longtemps, pour commencer à voir l’intérêt qu’est de nettoyer, de purifier, ses corps éthériques.

Je ne met pas de côté les soins du corps, du vivant par la matière. Au contraire, ils n’apporteront que mieux être et participeront d’une manière conséquente au retour à la santé. Mais finalement derrière la santé, surtout actuellement, bien des choses apparaissent, je le redis : tout est interpénétré, et quand on constate la présence d’un mal en soi, n’importe laquelle de sa nature, c’est que d’une manière ou d’une autre, à un temps ou un autre, nous l’avons laissé entrer en nous, nous lui avons ouvert la porte de notre enveloppe physique.

Une fois que le symptôme physique ou psychique est apparu, cela veut dire que le mal dont nous souffrons est passé par toutes les couches subtiles de notre corps pour finalement et symptomatiquement s’épanouir en notre physicalité, notre matière propre. Platon nous dit que  » Les maux du corps sont les maux de l’âme, ainsi on ne doit pas chercher à guérir le corps sans chercher à guérir l’âme « .


C’est exactement ça, on ne peut nourrir l’arbre si l’eau qu’on lui donne est empoisonnée.

Platon nous rappelle juste ici le fondamental, nous qui cherchons toujours à traiter un symptôme, une anomalie, un mal, nous oublions pourtant bien vite d’en chercher les causes, et mêmes quand nous les cherchons nous nous limitons bien souvent aux concepts dogmatiques que la médecine dont nous nous appuyons nous apprend.


Alors oui commencer à chercher les causes des symptômes au niveau physique c’est bien, car une fois identifiés, la guérison pourra s’enclencher (que l’on parte du pied pour soigner le bras ou du bras lui même, tout est relié, la guérison prend bien souvent des chemins de traverse), mais il ne faut pas oublier d’où ce mal vient. Alors effectivement celui-ci s’épanouira bien plus vite selon notre mode de vie, notre hygiénisme, nos habitudes, notre alimentation, mais il s’épanouira de toute façon.

Un exemple me vient : Deux personnes semblables au point de vue de la constitution, du tempérament et du terrain mais avec deux hygiènes de vie radicalement opposées. La première se nourrit de produits transformés, fast-food, viandes, sucres, alcool et tabac et aussi fruits, légumes et crus…

Mais en conscience et en paix avec elle même, sans dualité, sans culpabilité. Elle est en bonne santé, rien a l’horizon, elle profite de sa vie, elle est en paix et dans l’amour. La deuxième mange le plus physiologique possible, du cru de fruits et légumes, des jus, des graines germées, à base de monodiètes, de jeûnes… Sans qu’aucunes failles ne viennent l’éloigner du chemin de santé qu’elle s’est choisie, et pourtant elle va mal, elle est en mauvaise santé avec une pluie de symptômes à la clef.


Que peut-on en conclure ?

Dans le schéma traditionnel des médecines naturelles la première devrait normalement subir les conséquences de son hygiène de vie et la seconde en bénéficier favorablement. Mais alors que s’est t’il passé ? Et bien tout est histoire de vibration. Effectivement moins tu manges naturel, plus tu abaisses ta vibration et à contrario plus tu manges physiologique plus tu l’augmentes.


Ok ça parait logique. En revanche plus tu crées de frustrations, plus tu gères ta vie par le mental qui te dicte ta façon de faire, plus tu entres en dysharmonie avec tes propres vibrations, tu t’en éloigne donc et là on est bien en facteurs de maladie. Alors si tu veux mieux manger fais le, mais écoute ton corps, écoute ton instinct et si tu veux te faire plaisir fais le, du moment que tu le fais sans peur, sans culpabilité. C’est cela la différence entre ces deux personnes; La première vit dans l’instant présent en confiance et la deuxième se projette sur son bien être en oubliant ce qu’elle est, son instinct par la peur du mental.


Actuellement, tout s’accélère, tout s’intensifie, tout arrive plus vite : plus de maladie, plus de pollution, plus de mal-être et pourtant on assiste, et de plus en plus, à une merveilleuse prise de conscience qui s’amplifie à chaque minute, à chaque jour qui passe… chez la plupart, même chez ceux qui ne s’en rendent pas encore compte.

Pour en revenir aux corps subtils et pour clarifier la situation, mais bon je ne m’inquiète pas trop si tu me lis, le corps émotionnel fait parti d’un ensemble de corps non perceptibles que je pourrais caractériser d’enveloppes qui nous entourent, et qui ne sont pas visibles pour la majorité d’entre nous, par le simple fait de leurs palpations éthérées.

C’est à dire que ces enveloppes ne sont pas visibles à l’oeil nu, mais perceptibles par nos sens, ceux que nous choisissons de développer ou non, en conscience ou en non conscience.


Il existe une multitude de techniques pour toucher et agir sur les corps éthériques :

Pleurer pour se libérer
Pleurer pour se libérer !

On peut pratiquer les bols tibétains, avoir recours au magnétisme, à la méditation, à la respiration, à certains massages, aux arts chinois du Qi gong et ses cousins. À l’acupuncture, au jeûne. Mais aussi à la danse, aux chants, la pratique de la musique, des chakras… Mais au final ce qui décristallisera bien les choses et de manière rapide c’est le pleur. Pleurer sans forcément être triste, mais plutôt pleurer pour la joie de se retrouver, la joie de s’accueillir en soi. Pleurer pour la joie de son évolution, de son lâcher prise, pour permettre de se rapprocher de sa conscience divine, souveraine du tout.

Qu’est ce que l’on se sent bien après avoir pleurer.


Certes, on peut être fatigué, avoir les idées embrumées, se sentir comme vulnérable mais ce n’est que passager et dans la finalité, on s’est débarrassé d’un certain nombre d’enclumes qui nous faisaient stagnées.


Alors si après tu es fatigué : dors. Si tu as les idées embrumées : respire. Et si tu te sens vulnérables, pose ta main sur ton plexus solaire et ressens la force montée en toi par cette libération des corps.

Voilà le message que je voulais vous offrir.

Auteur  Pleurer pour se libérer – Adrien Ruet

Bio:

Étudiant en école de naturopathie, je ne suis pas arrivé par hasard dans l’univers des médecines naturelles. ​ Autour de mes 23 ans mon corps « tomba ». Je n’avais littéralement plus aucune énergie, et cela se caractérisa par de nombreux symptômes physiques à la clef… Bref j’étais mal. La douleur, quand elle est omniprésente, vous force à revoir vos priorités.

Et c’est ainsi que passé l’obtention d’un Bachelor en école de commerce, je me suis dirigé vers la naturopathie pour essayer de comprendre ce qui se passait. ​ Dans le même temps, j’ai totalement coupé court avec les professionnels de notre médecine actuelle et leurs traitements chimiques. Rapidement j’ai vu les choses s’améliorer jusqu’à la diminution des symptômes qui m’étaient associés, et finalement leur disparition. ​ J’ai décidé d’ouvrir Juste NATURO au public pour permettre à celles et ceux qui souffrent, ou qui veulent comprendre le fonctionnement de leur santé, d’avoir un accès à ce monde des techniques ancestrales.
Son site : www.justenaturo.com
Sa page Facebook : www.facebook.com/justenaturo/

Notez cet article

Adrien Ruet

Hygiénisme, de la naturopathie, du développement personnel, mais aussi de toutes les pratiques de santé « holistiques » et énergétiques. Étudiant en école de naturopathie, je ne suis pas arrivé par hasard dans l’univers des médecines naturelles. ​ Autour de mes 23 ans mon corps « tomba ». Je n’avais littéralement plus aucune énergie, et cela se caractérisa par de nombreux symptômes physiques à la clef… Bref j’étais mal. La douleur, quand elle est omniprésente, vous force à revoir vos priorités. Et c’est ainsi que passé l’obtention d’un Bachelor en école de commerce, je me suis dirigé vers la naturopathie pour essayer de comprendre ce qui se passait. ​ Dans le même temps, j’ai totalement coupé court avec les professionnels de notre médecine actuelle et leurs traitements chimiques. Rapidement j’ai vu les choses s’améliorer jusqu’à la diminution des symptômes qui m’étaient associés, et finalement leur disparition. ​ J’ai décidé d’ouvrir Juste NATURO au public pour permettre à celles et ceux qui souffrent, ou qui veulent comprendre le fonctionnement de leur santé, d’avoir un accès à ce monde des techniques ancestrales.

Voir les publications de l'auteur

Commentaires

Laisser un commentaire

Votre commentaire sera révisé par les administrateurs si besoin.