Psychologie et comment mieux gérer ses relations

6 réponses simples et rapides pour mettre un terme aux ragots

Par Antoine Delacour , le mercredi, 28 février 2018, 11h40 , mis à jour le mercredi, 12 août 2020, 17h02
mettre un terme aux ragots
Image crédit : Pixabay

Les ragots sont considérés par la plupart comme quelque chose de normal, en particulier pour les pré-adolescents et les adolescents. 

Le problème est que les commérages peuvent devenir tellement méchants qu’ils détruisent l’estime de soi d’une personne.

La propagation des ragots à travers Internet et les téléphones portables a causé des dommages sociaux et émotionnels à de nombreux adolescents. Il n’y a aucun doute à ce sujet, les commérages blessent les gens. Ceux qui en font sans cesse ne se soucient pas de savoir à qui ils font mal.


Quand une personne négative essaie de vous entraîner dans des ragots nuisibles, essayez de répondre de l’une des façons suivantes.

Voici donc les 6 réponses simples et rapides pour mettre un terme aux ragots :

1. Soulignez les informations manquantes

L’histoire d’un ragot a souvent des trous. Une façon d’arrêter les ragots est de mettre en avant les trous manquants dans leur histoire . Il se peut que ce soient des dates et des heures précises de suppositions qui se sont produites, ou si elles ont personnellement vérifié les commérages qu’elles diffusent.

Cela pourrait les aider à comprendre que ce n’est pas parce qu’ils ont entendu une histoire que cela est vrai. Et même si c’est vrai, il leur est impossible d’avoir une vision précise de la situation à moins d’avoir été là et de l’avoir vécu personnellement.


2. Confrontez celui qui raconte des commérages

Avant que les ragots ne deviennent incontrôlables, affrontez ceux qui les racontent. Demandez-leur pourquoi ils répandent des rumeurs ou dites-leur simplement que les commérages vous mettent mal à l’aise et que vous préférez parler d’autre chose. Affrontez-les en leur faisant savoir que vous reconnaissez ce qu’ils font, et veillez à ce qu’ils sachent que vous ne voulez pas en faire partie.

3. Évitez complètement la conversation

Si vous préférez, évitez simplement complètement la conversation. Quand la personne essaye de vous traîner dans sa négativité, il suffit de s’éloigner. Dites-leur que vous n’appréciez pas les ragots ou que vous ne voulez pas être impliqué dans la situation, ou retournez-vous tout simplement et partez.

4. Ajoutez quelque chose de positif

Si une personne fait constamment des commérages, c’est probablement parce qu’elle manque d’estime de soi ou de confiance en soi. Les gens qui racontent des ragots disent des choses négatives sur les autres afin de se sentir mieux en comparaison.


Arrêtez les ragots en déclarant des choses positives sur la cible du ragot. S’ils se moquent de la façon dont quelqu’un s’habille, complimentez sa personnalité. Ne vous laissez pas entraîner dans la négativité.

5. Commencez une conversation sur les différences culturelles

Si le sujet des commérages concerne une autre culture, celui qui raconte des commérages peut répandre des rumeurs parce qu’il ne comprend pas ses coutumes. Au lieu d’essayer de comprendre, une personne qui aime les ragots saute directement sur les déclarations négatives et les accusations.

Mettez un terme aux potins en entamant une conversation sur les différences culturelles. Aidez la personne à comprendre que tout le monde est différent.


6. Transformez le ragot en conversation sur l’aide

Quand quelqu’un qui fait des commérages commence à parler d’une autre personne, répondez en disant: «J’espère que tu serais prêt à l’aider à se sentir plus inclus. Penses-tu que tu es prêt à aider? » Adaptez votre question à la situation. Contestez les potins pour aider au lieu de blesser en répandant des rumeurs. Vous les prendrez au dépourvu et vous pourrez peut-être changer leur attitude face à la situation.


Antoine Mercier / Sources: Our Everyday Life et Crosswalk et Wiki How

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Antoine Delacour

Comme de nombreuses personnes, cela fait des années que j’essaie de limiter mon empreinte carbone en triant mes déchets, en empruntant le plus possible les transports en commun et en limitant au maximum le plastique. C’est un bon début, mais je pense que tout ceci n’est pas suffisant car nous ne réglerons pas le problème en nous contentant de faire cela.

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Commentaires

Le mercredi, 28 février 2018, 12h22 à 12h22, ahlem a dit :


très bien dit et clairement expliquer c'est très important de savoir comment gère certaine situation exemplaire


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