Psychologie et comment mieux gérer ses relations

9 signes potentiellement révélateurs de la crise de la quarantaine

Par Antoine Delacour , le mardi, 15 mai 2018, 10h27 , mis à jour le mercredi, 26 août 2020, 15h45

Aussi cliché que cela puisse paraître, la vie peut être un voyage vraiment difficile. 

De la naissance à la mort, il peut arriver beaucoup de choses. Nous rencontrerons tous des défis, internes et externes, que nous ne pourrons pas contrôler la plupart du temps.

La crise de la quarantaine n’est pas différente. Ce temps de défi et d’incertitude peut être transformateur, terrifiant … ou même un peu des deux. Souvent, cette période comprend une gamme d’émotions, de pensées et / ou de changements physiques qui indiquent qu’un certain type de transformation est en train de se produire.


VOICI DONC 9 SIGNES POTENTIELS D’UNE CRISE DE LA QUARANTAINE:

1. NOUS SOMMES OBSÉDÉS PAR LA PERTE DE POIDS/ LA REMISE EN FORME

Vouloir perdre du poids ou se mettre en forme est toujours une bonne chose, peu importe l’âge. Pour ceux qui connaissent une crise de la quarantaine, cela peut souvent prendre la forme d’une épiphanie. Nous commençons à penser « Qu’aurais-je pu faire ? » Ou «Comment puis-je être meilleur? »

Ces questions sont communes … en particulier pour ceux qui traversent une crise de la quarantaine.

2. UNE PLUS GRANDE CONSCIENCE DE SOI

La crise de la quarantaine implique souvent de se comparer à d’autres personnes. Nous le faisons aussi avec nous-mêmes, en nous demandant si nous nous sommes «mesurés» à nos propres attentes. Notre vrai potentiel est-il réalisé? Qu’avons-nous échoué? Qu’avons-nous réussi? Est-il trop tard pour changer?


3. NOUS VOULONS QUITTER NOTRE EMPLOI, MÊME S’IL EST BIEN

Demandez à tous ceux qui doivent travailler pour gagner leur vie. Quelques chanceux ont trouvé des moyens de gagner un revenu et de profiter de la source de ce revenu. Ceci, cependant, est l’exception à la règle. Quand nous sommes dans la quarantaine ou la cinquantaine et que nous détestons notre travail, nous commençons à nous demander pourquoi nous le supportons. Ne pouvons-nous pas profiter de nos dernières années ?

4. NOUS CHANGEONS DE COMPORTEMENT DE MANIÈRE INATTENDUE

L’un des signes les plus évidents d’une crise de la quarantaine est le comportement erratique. Ce type de comportement provient de la croyance que l’on n’a plus grand chose à perdre.

5. NOUS AVONS DES ÉPISODES DE DÉPRESSION (OU DES SYMPTÔMES SIMILAIRES)

Certaines personnes souffrent d’une perte d’identité lors de la crise de la quarantaine. Cela peut être perçu comme une «perte» d’une manière très sérieuse, pouvant modifier la chimie du cerveau. Cette série cumulative d’événements malheureux peut entraîner une dépression ou des symptômes similaires.


6. NOUS PENSONS DAVANTAGE À LA MORT / AU « BUT DE LA VIE »

Nous savons que la mort est inévitable … même si certains d’entre nous choisissent d’ignorer ce fait. La quarantaine implique que nous avons atteint ce qui est susceptible d’être le point médian de notre vie. Il n’est pas surprenant de constater que ceux qui vivent une crise de la quarantaine soient plus susceptibles de penser davantage à la mort et / ou au «but de la vie».

7. NOUS COMMENÇONS À PANIQUER À PROPOS DES PROBLÈMES DE SANTÉ

C’est parfaitement naturel de faire plus d’attention à notre santé en vieillissant, y compris aux «signes» de problèmes potentiels. Nous sommes des êtres intelligents et logiques, alors nous comprenons que l’impermanence de la vie peut être légèrement atténuée lorsque nous prenons soin de notre santé.

8. NOUS NOUS COMPARONS À NOS AMIS ET À D’AUTRES PERSONNES

Beaucoup de gens sont motivés par le succès. En tant que baromètre, ces mêmes personnes compareront leur argent, leurs vêtements, leur voiture, leur maison, etc. -à leurs amis, leurs pairs et même leurs proches! La quarantaine est souvent la période où la plupart des gens atteignent le sommet de leur carrière, de leurs réalisations et autres mesures de succès. Lorsque nous réalisons cela, nous sommes plus susceptibles d’évoquer des pensées de «comparer et contraster» avec d’autres personnes.


9. NOUS ACHETONS DES ARTICLES COÛTEUX SOUS IMPULSION

Cela se produit plus souvent que nous le pensons. La recherche montre qu’au moins un tiers des hommes de 40 à 59 ans achètent un objet coûteux, le plus souvent une belle voiture. Les femmes se livrent également à ce comportement, beaucoup choisissent d’opter pour la chirurgie plastique, le Botox par exemple.


Image crédit : Pixabay Source : ://WWW.WEBMD.COM

Notez cet article

Antoine Delacour

Comme de nombreuses personnes, cela fait des années que j’essaie de limiter mon empreinte carbone en triant mes déchets, en empruntant le plus possible les transports en commun et en limitant au maximum le plastique. C’est un bon début, mais je pense que tout ceci n’est pas suffisant car nous ne réglerons pas le problème en nous contentant de faire cela.

Voir les publications de l'auteur

Commentaires

Laisser un commentaire

Votre commentaire sera révisé par les administrateurs si besoin.