Alimentation et nutrition

Les aliments dont nous avons envie peuvent être révélateurs des aliments dont nous avons besoin (tableau)

Par Antoine Delacour , le vendredi, 3 mai 2019, 11h54 , mis à jour le vendredi, 3 mai 2019, 11h54
aliments dont nous avons besoin
Image crédit : Deposith

On dit que notre propre corps est notre meilleur guide pour rester en bonne santé.

Nous avons souvent notre « intuition » qui nous prévient lorsque quelque chose ne va pas, et il se trouve que celle-ci a très souvent raison.

Par Antoine Mercier. Le 03/05/2019

Lorsque quelque chose ne va pas, il se peut que vous ressentiez une certaine humeur. Si vous regardez encore plus profondément, vous verrez certainement qu’il se passe quelque chose au niveau physique qui «correspond» à l’humeur.


Notre corps et notre esprit sont très synchronisés. Un phénomène mental peut nous indiquer que quelque chose se passe au niveau physique. Et l’inverse est également vrai: même la plus petite pathologie physique peut nous avertir sur quelque chose qui se passe dans notre cœur et dans notre âme.

C’est une bonne nouvelle, car nous pouvons calmer notre esprit et voir ce qui se passe à l’intérieur de nous.

Dans ce cas, nous n’avons même pas besoin d’être silencieux. Il nous arrive tous d’avoir envie de certains aliments en particulier.

Si vous voyez que vous avez envie d’un type de nourriture pendant une période prolongée, vous risquez fort de découvrir que vous manquez de certains éléments nutritifs essentiels à votre alimentation. Ce tableau a été très surprenant pour ma part. Les aliments salés signifient un manque de silicium? Qu’est-ce que ça signifie?


La liste des aliments sains et riches en nutriments que nous devrions manger au lieu des aliments moins sains dont nous avons envie est très utile.

Découvrez le tableau ci-dessous, et voyez à quoi cela correspond lorsque vous avez envie de certains aliments !

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Antoine Delacour

Comme de nombreuses personnes, cela fait des années que j’essaie de limiter mon empreinte carbone en triant mes déchets, en empruntant le plus possible les transports en commun et en limitant au maximum le plastique. C’est un bon début, mais je pense que tout ceci n’est pas suffisant car nous ne réglerons pas le problème en nous contentant de faire cela.

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