Une dessinatrice présente 30 dessins sur le consentement sexuel pour éveiller les consciences

Le samedi, 16 mars 2019, 13h09 à 13h09, Manon Giroux a dit :

J'ai bien lu votre histoire. Très bien.
Je ne sais pas s'il manque un mot ou un erreur de ''typo''
Au moment de partir il s'est penché sur ''mon'' pour m'embrasser


Cela prouve que j'ai bien lu votre histoire.
Bravo

Le dimanche, 17 mars 2019, 15h05 à 15h05, Thelma a dit :

Quand j'ai posé une main courante pour violences conjugales, on m'a fait remplir un dossier à part sur les violences sexuelles et j'ai été reconvoquée le lendemain. A ma grande surprise j'ai appris que 90% de ce que je subissais sous mon propre toit, (de la part de mon propre conjoint qui m'avait enfoncé dans le crâne que c'était MON comportement qui était anormal, ) que 90%, donc était illégal et qu'il risquait la prison pour l'avoir fait. J'ai enfin pu mettre un mot sur la situation : mon ex- conjoint me violait depuis des années....

Le mardi, 19 mars 2019, 0h46 à 0h46, Nadia # a dit :

Merci, c'est si bien expliqué!

Le jeudi, 2 mai 2019, 17h49 à 17h49, Line a dit :

ça me rappelle mon enfance, mon adolescence, et une bonne partie de ma vie d'adulte ! J'ai 53 ans : ça n'est malheureusement pas nouveau. Parents inconscients = pas à l'écoute... On se sent isolé.
C'est très bien expliqué. ça fait du bien de savoir que le mal être que je ressentais était justifié.

Le jeudi, 18 février 2021, 23h04 à 23h04, claesf a dit :

y'a un truc qui me dérange : ET LES MECS QUI SUBISSENT CA ON EN PARLE QUAND ? parce que eux, on leur rit au nez car la "culture du viol" ca va dans les deux sens, ils sont aussi victimes de l'image que les féministes ont des mecs (genre ils ne pensent qu'au cul etc) alors que eux aussi subissent ce genre de drague, de comportement déplacé, de manipulation pour des actes sexuels etc et eux si ils s'en plaignent EN PLUS on se moque d'eux sur internet (déjà vu, fait réel) à un moment donné je me demande qui est le plus victime de cette image du "mec agresseur"...

Le vendredi, 11 juin 2021, 3h47 à 3h47, Annick a dit :

ça vous ait arrivé personnellement ce genre de choses ?

Le vendredi, 29 avril 2022, 15h48 à 15h48, Hugues a dit :

Elle a à moitié raison.
A moitié parce que une partie du problème réside clairement chez les hommes, on ne va pas le nier et ça vient en partie de l'éducation.
Mais le problème se situe également dans l'éducation et attitude des filles, en les blocages et les attitudes "compliquées" sans compter que la première fois est souvent assez compliquée (dont à cause des contraintes sociales), on arrive à un désastre relationnel homme/femme.
Rajouter à cela que l'éducation sexuelle se limite majoritairement à la reproduction et pas à l'écoute du partenaire, ça peut devenir compliqué.

Le problème c'est que hommes, femmes et la multitude de nuances entre les deux n'ont pas nécessairement les mêmes attentes, les mêmes goûts ni les mêmes rythmes.

Un des seuls points qui m'a choqué dans sa présentation, c'est quand elle prend la caricature de "allez, ça fait déjà une semaine". Alors, cette situation est aussi délicate que compliquée et nie le chantage sexuel et la gestion volontaire des frustrations sexuelles que beaucoup de femmes pratiquent dans la réalité. Ainsi, une femme en couple qui a un amant de manière secrète n'a souvent aucun manque ni frustration mais peu alors dominer par ce biais ... hé oui ...

Aujourd'hui, on améliore l'analyse du phénomène de viol et le viol des hommes refait surface, il n'égale pas le viol fait aux femmes sauf dans le cadre de l'enfance voire de l'adolescence où la situation évolue progressivement surtout depuis que l'homosexualité n'est plus un tabou et que l'égalité des sexes progresse.
Donc, ceci n'est pas limité aux filles et il ne faut pas non plus moquer la psychose masculine d'accusations infondées ou exagérées. Ironiquement, ce sont souvent les hommes les plus corrects qui s'en préoccupent et qui sont touchés par cela.
Donc le seul autre point qui m'a choqué c'est la partie où elle se moque même des hommes qui stressent à l'idée d'une accusation ou d'une mauvaise interprétation. C'est choquant et pas spécialement malin non plus. Pourquoi?
Simplement parce que ces hommes sont souvent déjà très proches du féministes voire féministes et ils se rendent bien compte que la peut change de camp or ils ne faisaient pas partie du problème et se sentent devenir des proies à la fois des femmes alors qu'ils étaient déjà des proies pour les hommes alpha.
La vignette sur les mythes du conditionnement est donc simplement à côté de la plaque, ces hommes qui stressent ont peur d'accusations mais se sentent démunis également parce les femmes n'ont pas fondamentalement changé et deviennent frustrées voire agressives parce que les hommes manquent d'initiative ou que ça manque de piment.

Donc, c'est un travail qui doit se faire sur les deux sexes, jusqu'à trouver un nouvel équilibre plus harmonieux et où les femmes prennent plus d'initiatives également ce qui aura un effet vertueux si les hommes gentils ont plus de succès que les "bad boys".

Or, aujourd'hui, bien des féministes ont des incohérences de discours, à rejeter les gentils garçons puis se laisser séduire par des hommes plus virils mais beaucoup moins corrects. Or dans la théorie de l'évolution, le plus adapté gagne et se reproduit le plus ...