Nature

Photos de la nature surréaliste et de la beauté du Kirghizistan

Par Antoine Delacour , le mardi, 15 janvier 2019, 12h03 , mis à jour le vendredi, 10 décembre 2021, 18h41

Image crédit : Pixabay

On n’a pas besoin de visa pour aller au Kirghizistan. 

Sauf pour un séjour touristique de plus de 60 jours.


Il est assez facile d’y voyager si vous êtes prêts à faire une escale quelque part. Il n’y a pas vraiment de vols directs. Ensuite, vous volerez vers la capitale Bichkek, qui est déjà entourée de montagnes folles. Cela commence ici. En entrant dans la ville, vous voyez déjà des pics enneigés autour de vous. Au fond, tout ce pays a des hauteurs et des montagnes immenses. C’est à un niveau différent de celui auquel nous sommes habitués en Europe.

Être à une altitude d’environ 3000 m est assez commun ici, avec des sommets de plus de 7 000 m et des randonnées à plus de 4000 m. J’ai eu un petit problème avec les altitudes au début de ma visite mais cela a disparu au bout d’un moment.


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La nature au Kirghizistan est vraiment intacte et de nombreux habitants vivent comme des nomades. 

Les routes de campagne sont plutôt mauvaises.  Mais avec quelques efforts (routes mauvaises et sentiers de randonnée escarpés), vous serez en mesure de voir une nature parfaitement préservée. Des vallées sans fin avec d’énormes montagnes autour de vous, des lacs turquoise, des aigles sauvages, des canyons, etc. Ce pays a tout pour plaire.


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Au bout de quelques heures de marche, j’ai atteint des montagnes enneigées et des paysages lunaires avec des canyons rouges et des textures surnaturelles.  

À cause des régions éloignées, il n’y a littéralement aucune pollution lumineuse. Pendant la nuit, en levant les yeux, vous verrez la voie lactée la plus brillante que vous ayez jamais vue dans le ciel.


Le Kirghizistan est un pays d’une beauté incroyable.

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Avec une nature véritablement préservée et je vous le recommande vivement.


Je laisse les photos parler d’elles-mêmes.

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Crédit photo : Albert Dros


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Antoine Delacour

Comme de nombreuses personnes, cela fait des années que j’essaie de limiter mon empreinte carbone en triant mes déchets, en empruntant le plus possible les transports en commun et en limitant au maximum le plastique. C’est un bon début, mais je pense que tout ceci n’est pas suffisant car nous ne réglerons pas le problème en nous contentant de faire cela.

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