Relations

Je n’ai jamais cessé de vouloir être avec toi même si j’ai arrêté de te courir après

Par Lucie Meyer , le jeudi, 9 août 2018, 11h20 , mis à jour le dimanche, 3 janvier 2021, 7h46 — couple
vouloir être avec toi
Image crédit :depositphotos.com

Je veux encore être avec toi même si j’ai arrêté de te courir après

J’ai commencé par t’envoyer un message.

Puis un deuxième. J’ai aimé tous tes selfies, en faisant attention à laisser un peu d’espace entre les deux pour ne pas paraître trop désespéré.


Je t’ai fait de nombreux compliments. Je me suis mis sur mon 31 chaque fois que je savais que j’allais te croiser. Je t’ai envoyé des invitations le week-end. Je t’envoyais tes indices pour te faire savoir à quel point tu me manquais que je ne te voyais pas. J’ai fait beaucoup d’efforts pour te faire une place dans mon monde pour que tu puisses voir que je tenais suffisamment à toi.

Même quand tu n’as pas répondu à mes messages et que tu m’as envoyé des signes contradictoires, j’ai continué à avancer. J’étais contrarié par le temps que tu mettais à me répondre, mais j’ai toujours fini par te pardonner. J’étais déçu quand tu annulais nos sorties, mais j’ai toujours continué à te proposer de nouveaux plans pour le week-end d’après.

J’insistais car je croyais que tu avais peur de te mettre en couple mais que tu finirais par changer d’avis grâce à moi.

Je pensais faire la bonne chose, et pour être honnête, je pense que je n’aurais pas pu faire autrement. Je voulais simplement te faire parler. Je n’aurais pas pu m’empêcher de t’envoyer des messages, de te toucher, de te complimenter, ou de rêver de t’embrasser.


Mais à force d’insister, cela m’a fatigué. Tu ne m’as jamais demandé de sortir avec toi, tu n’as pas fait le moindre effort pour me montrer que je t’intéressais, donc j’ai abandonné l’espoir d’être avec toi un jour. Un jour , j’ai arrêté de t’envoyer le premier message, et j’ai cessé de te notifier sur mes publications. Peu à peu j’ai abandonné l’idée d’un nous un jour.

Lire aussi : Nous ne cessons jamais d’aimer silencieusement ceux que nous avons aimés à voix haute

J’ai peut-être arrêté de te courir après, mais cela ne signifie pas que je ne veux plus être avec toi.

couples heureux

Je te veux toujours et mes sentiments pour toi sont toujours là. Mais je ne supporte plus le chagrin de flirter avec toi, d’avoir l’impression de me rapprocher de toi et de découvrir que tu as rencontré une autre personne que moi.

J’ai essayé de t’impressionner suffisamment longtemps. Si tu veux être avec moi, alors c’est à toi de faire le premier pas. C’est à toi d’envoyer le premier message, de faire la conversation, et de me proposer des plans passionnants pour le week-end.


Je n’ai plus la force de le faire. Je ne peux plus te courir après, même si je veux vraiment être avec toi.

Voir également : Faites preuve de patience, l’amour vous trouvera bientôt

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Lucie Meyer

Coucou, je suis une grande adepte des relations et de la psychologie. J’ai toujours été fascinée par le fonctionnement humain. C’est pour cela que j’ai entrepris des études en psychologie. J’ai ensuite continué pour passer ma licence de psychologie, mais j’ai dû abandonner pour des raisons de santé. Mais j’ai toujours cette fibre en moi et c’est pour cela que j’essaye de traiter au mieux certains sujets. Comme les relations de couple.

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Commentaires

Le vendredi, 10 août 2018, 17h37 à 17h37, Ika a dit :


Je suis entièrement d'accord ... Aussi étrange que cela puisse paraître ...


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Le vendredi, 10 août 2018, 17h50 à 17h50, ?‍♀️?‍♀️ a dit :


Quelle drôle de façon tu t'y prends tu sais tout de moi et moi rien de toi... Je vais de déception en déception, et sûrement que tu ne es pas étranger à tout ça.... Donc vu que tu as mon tel et moi pas le tien tentes le chemin classique et tu verras... Pries que je sois de bon poil ce jour là ?????


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Le samedi, 11 août 2018, 8h20 à 8h20, Yvon MATHIS a dit :


Le plus douloureux, c'est quand à un moment donné on s'est rapproché au point de franchir un cap important et que, peu de temps après, elle s'éloigne...vite, très vite jusqu'à devenir indifférente puis invisible....Et pourtant, nous partagions tellement, presque tout. Un mot, une intonation suffisait pour que l'autre ressente le mal être et vienne te réconforter....


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Le samedi, 11 août 2018, 9h47 à 9h47, Hanquiez Annie a dit :


Que c'est beau d'être aimé(e) comme ça !


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